En découvrant un étui de violon vide dans un grenier, une jeune femme renoue avec sa petite fille intérieure. Elle rejoue alors son enfance en Belgique à travers les souvenirs oubliés, à demi effacés, et les objets abandonnés dont on ne peut se séparer.

Note d'intention
Moi, le Violon est un concert théâtralisé qui plonge le spectateur au cœur de l'enfance et de la Belgique. Parcours initiatique qui nous fait reprendre conscience de nos racines pour mieux repartir vers une nouvelle vie, le texte d'Emilie Malaprade serpente de la grande maison familiale au Palais du roi, en passant par le Plat pays, la mer du Nord et les odeurs de l'enfance, doigts dans le pot de confiture, les frites et les fêtes de village.
Aurélie Rochman a fait le choix de construire une scénographie mobile, comme un intérieur de grenier, avec des cartons posés ça et là et dont le contenu tisse le parcours d'enfance. Les lumières s'allument et éclairent ces pans d'histoire au fur et à mesure, comme si les souvenirs appelaient pour qu'on les réveille.
L'enfance se joue, au violon avec des morceaux classiques, des morceaux plus festifs, ou plus tristes. Car l'enfance, c'est ça : une succession de moments marquants, heureux, tristes, légers, douloureux, plein de joie, que l'on range dans un coin de notre mémoire et qui nous construisent.
Accueil  
Le spectacle est autonome en son et lumière et ne requiert aucun équipement hormis la possibilité de faire le noir ou la pénombre. Il peut se jouer partout et est intergénérationnel, de 2 à 99 ans. (Durée : 35 minutes).

La compagnie Sans Edulcorant s'est dotée depuis 2012 d'une charte éco-responsable l'inscrivant dans une démarche de développement durable. 

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